Déménagement

Bon pour pas que le concours tombe à l'eau, je post la première partie de ma nouvelle :-)


James ce réveilla tout doucement. Il garda les yeux fermés encore un peu comme il aimait le faire au moment du réveil. Il repensait au rêve qu’il venait de faire,: son préférer :
Il dormait allongé sur l’herbe avec Camille à ses cotés. C’était un soir d’après midi, il avait pris le gouter sur la bute derrière leur petite maison et il caressait de sa main le ventre de sa femme enceinte de plusieurs mois déjà.
Il inspira profondément en essayant de s’imprégner encore un peu cette image de bonheur qu’il c’était forgé sur terre avant d’entreprendre ce voyage vers O-K65942, plus communément appelé OKAPI.

James sentait une pointe d’excitation naitre au fond de son ventre. Entreprendre ce voyage fou avec Camille ne fut pas facile, mais après tout si il voulait enfin vivre leurs rêves n’était ce pas l’endroit rêvé ?!
Ils ne faisaient pas partie de la première vague de colon qui partaient vers OKAPI, ça aurait été trop dangereux. On ne sait jamais ce qu’il y a vraiment sur une planète-collonie avant d’y avoir m’y les pieds. Et James ne voulait prendre aucuns risques qui inclurait la future mère de ses enfants.
Mais OKAPI était habité depuis déjà 67 ans et la vie la bas y était fabuleuse d’après les témoignages des nombreux colons. Mais pour James et Camille, comme pour beaucoup d’autre couple cela représentait surtout un nouveau dépars.

Oui, ils avaient décidément bien fait de ce lancer dans cette magnifique aventure. James ce décida enfin à ouvrir les yeux. Il fut un peu éblouis par la lumière artificiel de ça cabine de cryogénisation mais après être rester endormis pendant 5 ans, il fallait laisser à son corps le temps de s’adapter de nouveaux. C’était comme une deuxième naissance, les avaient prévenus les médecins de la société « OKAPYFLY ».

Ce que James voyait en dépis de la lumière éclatante ressemblait à la pièce qu’il avait laisser derrière lui 5 ans au par avant. Une cabine personnelle, stérilisé qui ressemblait plus à une salle d’opération. Dans le coin droit de la pièce se trouvait la cuve où James était encore couché. Cette sorte de baignoire était reliée à des tas d’ordinateur très compliqué qui à en croire les médecins servait à contrôler la respiration artificiel, de James, les battements de son cœur ainsi que sa nutrition par intraveineuse. D’ailleurs, les médecins devraient surement arriver d’un moment à un autre. C’est ce qui était prévus par le protocole de réveil.
En les attendant, James se demandait comment il avait pu rêver. Tout le monde sait que personne ne rêve dans le Cryo-someille. Il se dit que c’était surement une amélioration apportée à la phase de réveil.
Il avait maintenant l’esprit très clair et l’envie de serrer sa femme dans ses bras était très forte. Elle lui manquait terriblement même si, dans sa perception du temps, il l’avait quitté depuis seulement hier, c’était un besoin, un manque, de la voir enfin… James ne voulait plus être seul pendant qu’il rêvait de leur futur sur OKAPI… Il voulait partager avec Camille ses espoirs, ses peurs, ses envies…

Cela faisait déjà plusieurs dizaines de minute qu’il était là, à attendre que les médecins se manifestent. Il fit alors quelque chose qui était totalement contraire au protocole établis. Il éleva une à une les intraveineuses qui s’enfonçait dans ses bras et dans son cou et détacha prudemment les électrodes qui était collé sur son torse.
James s’attendait à tout moment entendre un des appareils signalé que James était débranché mais aucun sons, alarmes ou même signale lumineux se fit remarquer. James entrepris de se relever et de s’assoir dans sa baignoire (c’est comme ça que Camille et lui aimaient appelé les cuves de cryogénisations). L’exercice qui en temps normal ne lui aurait demandé qu’un mince effort, fut cependant terriblement difficile et douloureux. Ses muscles n’avaient plus l’habitude d’être sollicité de cette manière.

Une fois correctement assis, il se sentit stupide. Quand les médecins arriveront, ils le trouveront assis au milieu de sa cuve nu comme un vers. La situation qui n’avait de vraiment rien de drôle le fit cependant rire au éclat ! Que c’était bon ! Il se sentait vivre ! Il rit ainsi pendant plusieurs secondes. Mais peu à peu, son rire se transforma en pleure et la joie en peur ! Pourquoi aucun médecin n’était encore venu l’aidé, pourquoi personne ne lui avait souhaité la bienvenue parmi les vivants avec un paignoire bien chaud et une paire de pantoufle. James se doutait que ses sauts d’humeur était dû aux restes de produits chimiques que on lui avait injecté pendant son sommeille artificiel. Mais ses doutes étaient fondés, et James devait mettre toute sa raison à l’épreuve pour ne pas céder à la panique...



Sweet ?


Si vos voyez des fautes d'orhto faites le moi savoir

C'est drôlement bien ^^
Je n'ai pas lu en cherchant des fautes, mais j'en ai repéré une. Dans la 3ème phrase (Il repensait au rêve qu’il venait de faire,: son préférer), c'est "son préféré", pas "son préférer". [Note : on met ; au lieu de ,:]

Aaaaaaaah ! Enfin une première fiction ! Même si ce n'est qu'un début... Si ton but était de nous faire patienter, je crains qu'il n'est exactement l'effet inverse ! Maintenant, je vais avoir encore plus de mal à attendre...

Cette première partie est assez réussie, tu as bien réussi à mettre l'histoire en place, on comprend tout, même si au départ le sujet peut paraître un peu compliqué... Je trouve que tu t'en sors vraiment de ce côté là, parce que la cryogénie n'est pas ce qu'il y a de plus simple !

Quand à l'histoire en elle même... Originale est le premier mot qui me vient à l'esprit. Et puis j'ai bien envie de savoir beaucoup de choses, "Qu'est-ce qui est arrivé ?" "Comment va sa femme ?" "En quelle année est-on ?" etc. Et pour moi, quand on se pose ce genre de questions, c'est que l'auteur a réussi à éveiller notre curiosité, ce qui ne peut être qu'un bon point !

Côté écriture ? Rien à reprocher ! J'aime bien ton style, assez réaliste, je trouve.

Donc, moi j'attends la suite avec impatience !

P.S. Pour les fautes d'orthographes, oui, il y en a quelques unes : "James ce réveilla" (l1) "qu'il c'était forgé" (l5) "collonie" (l8) "dépars" (l12) "ce lancer" (l13) "ce décida" (13) "éblouis" (l13) "être rester" (l14) "de nouveaux" (l14) "en dépis" (l16)... et puis j'ai la flemme de faire la suite, relis toi, hein x)

Tout à fait d'accord avec Juliet ^^
J'ai hâte la suite !

C'est vraiment génial je pense qu'on a tous hâte de savoir la suite

Pas mal du tout, Math : du suspence, de l'imagination ... mais pas mal d'inspiration tirée d'Avatar ( remarque, je ne m'en plaint pas, mais ton histoire m'y a tout de suite fait penser ... )

En tout cas, ton style est bien rodé et clair : j'aime ça, et ton début est prometteur.

Cela dit, je ne compte pas poster ma nouvelle en plusieurs morceaux : il se peut que j'aie encore à retravailler mon entrée en fonction du dénouement.

Enfin, bravo, continue la dessus, je te soutiens !

PS : par contre, je te voue désormais une haine mortelle : si tu continue à ce rythme, tu vas ridiculiser mes posts supposés longs ... il va faloir que j'égalise rapidement !

ne t'en fait pas je pense que tu as encore de la marge pour la longueur de tes posts car j'avoue que j'ai souvent du mal à les lire en entier

Dr. Cumulus a écrit:

Pmais pas mal d'inspiration tirée d'Avatar

J'avais même pas pensé à avatar Je me suis plutot inspiré de BD comme Aldébaran et une autre (avec des zombie) dont je ne me souviens plus.

Par contre je trouves que vous êtes trop gentil, j'ai relus mon post et HORREUR j'ai vu beaucoup plus de fautes que je m'y attendais, j'ai vu un style cahoteux et trébuchant dont je ne suis pas fière du tout !! J'ai écris cette partie il ya un mois et je pensais l'avoir relus plusieurs fois... Et bien non !! Je me souviens avoir noter qu'il fallait revoir certain passages, ce qui n'avait jamais été fait. Je vous présente mes plus plate excuses !! J'aurais du relire avant de poster mais comme vous le savez mon temps sur le forum est compté...

Donc je vous le dis, je suis vraiment désolé, et étant un puriste et un professionnalisme quand je posterais la suite, je vous promets une version corrigé !!




Votre Admin vraiment désolé ...

Non mais t'inquiète pas ^^ Au moins, ça veut dire que tu t'es mis à fond dans l'histoire au point de ne pas te rendre compte de tes fautes ! Et puis souvent, même en relisant, quand on a soi même écrit un texte, on ne voit même pas les plus évidentes !

Dr Cumulus, je pense que du côté de la longueur des posts, tu ne crains rien ! x)

Citation :

Dr Cumulus, je pense que du côté de la longueur des posts, tu ne crains rien ! x)

+1

C'est vraiment original et dès la première ligne, on a envie de savoir la suite !
C'est super !

Alors, j'adore ton texte Mat !

bon, sinon voilà la mienne, qui fait exactement 6 pages moins 10 lignes ( j'ai réussi !! ça fait encore 5 !! ) personnellement, je préfère le début. Si vous avez des objections sur l'orthographe ou autre n'hésitez pas à m'en faire par !

EDIT MATH: Pour des raisons de facilitées, j'ai crée un nouveau topic ;-)
https://artemis-fowl.actifforum.com/concours-de-nouvelles-f20/nouvelle-minerva-t180.htm#2964

Très bon récit, et comme Dr Cumulus, ton histoire m'a tout de suite fais penser à Avatar.
Mais sinon félicitation c'est un très bon début.

CHAPITRE 2

Tout le monde rêve de voyage. C’est le grand fantasme de la populace. Quitter sa petite vie minable pour partir, et être quelqu’un d’autre, souvent le temps d’une semaine allongé à l’ombre de palmier sur une plage de rêve... Parfois, tout ne ce passe pas comme prévus, le soleil tarde à ce montrer, le pic-nic est volé par quelques écureuils, ou, comble de malchance, la voiture tombe en panne !! Mais tous ces désagréments sont tres vîtes oublié.. Et une fois la semaine de vacances terminée, on reprend ses petites habitudes qui sont si rassurantes finalement, c'est petites habitudes qui font le lot quotidien des milliards de terriens pris dans le cercle frénétique du métro, boulot, dodo.
Mais pour James, ce voyage était différent. Il avait quelque chose de beaucoup plus définitif. Aucun retour à la maison n’était possible.
On peut donc comprendre l’état d’hystérie dans lequel il se trouvait.
Pourquoi diable, aucun médecins n’étaient venu l’aider à sortir de sa cuve, pourquoi avait du il s’extirpé péniblement hors de cette dernière et pourquoi c’était-il cogner sur le sol alors que depuis qu’ il avait quitter l’atmosphère protectrice de la terre, l’apesanteur était sensé empêcher se genre de désagrément. Tout cela n’était pas normal !

James se souvenait que les « dormeurs » ne pouvaient être réveillé que par deux choses. : le réveil programmé qui devait se dérouler une semaine avant leur arrivé sur OKAPI et le réveil manuel, enclenché par le capitaine du vaisseau. La deuxième possibilité était de loin celle que redoutait James. Les réveilles enclenchés manuellement était très souvent synonyme de pannes… Les capitaines réveillaient alors les « dormeurs » afin d’évacuer le vaisseau principal via les barges de sauvetages.

Mais cette hypothèse ne tenait pas la route. En cas de panne, les médecins seraient probablement en train de procéder à son évacuation, ce qui n’était manifestement pas le cas.

James ne pouvait s’empêcher de penser aux histoires de ces soit disant vaisseaux collons qui se perdent et dont les dormeurs se réveillent des milliers d’année plus tard, quand les vivres commencent à manquer.
Bien surs, les compagnies cryotek comme « OKAPYFLY » avaient toujours démenti que de tels vaisseaux avaient jamais existé, mais l’imagination de l’homme est parfois tenace quand il agît de mythes pouvant porté atteinte à l’intégrité des compagnies cryotek..

« Mais ruminer de sombres pensée ne mènera à rien » ce dit James. « Il faut que je penses à me calmer. Que dirais Camille si elle me voyait dans cette état. Ahhh Camille…. ». Dès que l’image de sa femme atteint son esprit, James se détendit…
Il rêvait de nouveaux, à moitié endormis, à moitié réveiller. Il ne comprenait pas pourquoi, mais il se sentait si fatigué, si ankyloser, que l’idée même de bouger lui semblait tout à fait saugrenue. Il se sentait bien dans cet état et même sa peur fini par disparaître.
Appuyer contre le rebord de sa cuve, nu comme un vers, il sombra dans les profondeur d’un sommeil que seul les produits chimiques qui emplissait toujours les tissus de son cerveau pouvait provoquer…
Et c’est seul, seul dans cette pièce impersonnel et froide, seul dans sa pauvre tête, seul dans cette univers infini que James s’abandonna complètement aux tranquillisants…



Je vous promet plus "d'action" (enfin si l'on veux) au prochain extrait.

Encore bravo, Math : passer d'un milieu si paisible à une atmopsphère si tendue, je te tire mon chapeau.

( d'autant qu'a la place de ton héros, je serais déja mot de trouille : j'aie une sainte horreur de l'espace, que je considère comme le lieu le plus hostile à l'homme pouvant exister ... comme quoi, même notre génération peut être anti-progessiste Qu'est-ce que ça donnera quand le tourisme spacial se développera ? des vieux cons obtus et terrorisés par les nouvelles technologies ! [y'a une justice, quand même ... nos aïeuls se dressaient déja contre les technologies de notre époque, et nous nous dresserons à notre tour contres celles encore à venir : c'est un cercle vicieux !] euh, je m'égare, revenons à ton récit )

Je disais donc que ton histoire de naufragé spacial est pleine de suspense, de futurs rebondissements ( du moins j'espère ) et de promesses, pour un amateur comme moi ... continue, je t'en prie !

Suite et presque fin de ma nouvelle

Chapitre 3

-« Un brancard, vite ! » cria le Médecin en Chef ! « Qu’est ce qu’il fout hors de la cuves de cryogénisation lui ? »
« Il en avait probablement marre d’attendre planté là » répondit l’homme à sa gauche. « Tout ça est de votre faute ! S’endormir à l’heure même où tous les dormeurs de la station se réveillent ! Votre irresponsabilité aurait pu couté plusieurs vie si mes hommes n’étaient pas intervenus. »
« Monsieur, comme je vous l’ai déjà dit, nous avons voyagé beaucoup plus rapidement que prévus. Sentant la planète OKAPI déjà si proche l’ordinateur à avancé l’heure de réveil… Il est vrais que je m’étais assoupis, mais on ne peut pas nous demandé d’être prêt pour se genre de manœuvre 24h/24. » Répondis le M.C. dont le beau costume portait déjà des marques de transpiration.
« Il suffit ! Je ne tolèrerais plus la moindre erreur ! Est-ce bien clair ! ? »
« Oui mon capitaine »

James ne comprenait rien à cette conversation. Il s’était endormis, il ya déjà longtemps en pensant qu’il était surement le dernier survivant d’un accident quelconque. Mais il était à présent entouré d’infirmiers, d’un Médecin en Chef et par dessus tout, du capitaine sa sexion !
Il devait toujours être en train de dormir, c’était la seul explication possible. Voyant son expression d’incompréhension, un infirmier lui demanda si il comprenait ce qu’on lui disait. James acquiesça d’un bref signe de tête et l’infirmier poursuivis.
« On a eu un petit problème technique, rien de bien grave, mais vous vous êtes tous réveillé en même temps. C’était la pagaie ! Mais maintenant, tout vas bien, tu étais le dernier de notre sexion. Désolé du retard mon gars » Et le gratifiant du tape sur l’épaule, l’infirmier souleva, à l’aide de ses collègues, le brancard sur lequel était assis James.

Les couloirs se succédèrent et James fini par être amené dans un bureau carré où un petit fonctionnaires chauve lui fit remplir quelques papiers.

-Nom et prénoms ?
-Paterson James.
-Date de naissance ?
-14 Juin 2074
-Etude ?
-Je suis diplomé en lettre.
-Vous voyagé seul ou accompagné ?
-Ma femme Camille Smith, voyage avec moi, mais elle se trouve dans une autre sexion. Est ce possible de la voir ? Elle me manque terriblement !
-Mwouai, vera ça en temps voulu. Pouvez prendre un uniforme dans la caisse la bas.

James suivis les consignes données par l’homme et enfilât une sorte de bleu de travail (qui en fait était gris) le grossissant un peu. Après s’être accoutré de la sorte, James demanda à nouveau si il était possible qu’on lui indique ou se trouvait Camille. Le fonctionnaire lui répondis qu’ils étaient plusieurs centaines à regroupé, qu’il n ‘était pas la personne responsable des couples et que si James voulait avoir des informations il n’avait qu’a se rendre au bureau B26.

Le bureau B16 se trouvait deux niveaux plus haut que celui de James. Et dans l’état de faiblesse extrême où il se trouvait, il eu bien du mal à prendre les escaliers (Les ascendeurs était réservé aux membres du personnel). Il avait appris que la gravité artificielle avait été enclenchée dès les derniers collons s’était endormis.
Il était, sois disant, beaucoup plus facile de se déplacé en marchant qu’en flottant… James n’était pas tout à fait d’accord mais après tout il n’avait pas grand chose à dire.

Une fois arrivé au bureau B16, James pris un ticket et s’assis sur une des chaises. De nombreuses personnes étaient en train d’attendre leur tour.
Au guichet, une jeune femme voulait retrouver son mari. Après une rapide recherche sur son ordinateur, la fonctionnaire lui fit savoir que ce dernier se trouvait dans la chambre 456986. La femme partis, le visage radieux, sachant qu’elle retrouverait bientôt l’élu de son cœur.
Il en était ainsi pour chaque personne qui se présentait au contoir. Pourtant quand le tour de James arriva et qu’il demanda ou se trouvais Camille Smith, la fonctionnaire (qui en réalité s’appelait Catrine, c’était marqué sur son badge) lui répondis : « AH ! C’est vous Monsieur Paterson . Jai une lettre pour vous » Et fini part grommelée quelque chose qui devait ressemblée à « Quel pauvre pomme ».
James pris la lettre des mains de la fonctionnaire et ne se soucia aucunement de l’insulte. Il reconnu immédiatement l’écriture de Camille. Son cœur tambourinait fort dans sa poitrine ! Pourquoi Camille lui avait-elle écris une lettre ? Probablement un de ces petits jeu auquel elle l’avais habitué!

James ouvrit délicatement la fine enveloppe et pris la lettre. C’était l’unique chose qui depuis 5 ans le reliait à la femme qu’il aimait. Avec prudence il déplia la missive.
Elle semblait si légère.
Après avoir inspiré profondément, il commença à lire, l’excitation au ventre !


James, je suis désolée.
Jamais je n’ai voulus te faire souffrir, tout cela aurait du se passé différemment.
J’avais décidé il ya déjà longtemps que tout cela ne nous menais à rien, mais tu semblais si amoureux que j’ai toujours eu peur de te voir faire un bêtise…
Ce voyage c’était ton idée, ton rêve. Jamais je n’ai voulus quitté la terre, mais tu m’offrais là une occasion unique pour en finir avec nous deux. On à tout les deux ce que l’on veut. Toi un monde vierge à explorer et moi je suis enfin libre… J’espère que tu ne m’en voudras pas, Tu as toujours été bon avec moi. Je te le dis ça ; n’aurait pas du se passer comme ça…
Mais serait seulement partis si je t’avais annoncé que je te quittais ?
Ne me cherche par sur le vaisseau, tu t’en doute surement maintenant, je ne suis pas là.

Je vais enfin refaire ma vie. Ici sur terre.

Libre.

James je te le redis, je suis désolés


Camille

Et c’est seul, seul dans cet univers infini que James était partis… Vers OKAPI…




Voilà Voilà :-) Un très cours épilogue va suivre :-) J'èspère que l'histoire vous à plus et que la fin vous à surpris ! Je ne voulais pas tomber dans une vrais histoire de sciences fiction, ou c'est la sciences qui provoque le malheur!
Dans mon histoire les humains s'en tire deja tres bien tout seul !

Je dois dire que ton histoire, si elle m'était au plus haut point prometteuse, m'a déçu par sa dimension " humaine " : j'avais espéré un naufragé de l'espace qui se réveillait 500 ans après sa cryogénisation, un vaisseau spacial fantôme, ravagée par quelque mystérieuse agression, une longue agonie abrégée par un phnomène de type aspiration dans un trou noir ou percussion contre une étoile, bref quelque chose de spectaculaire et d'oppressant, mais ton histroire de séparation amoureuse a mouché mes pronostics.

Je ne dit pas qu'une telle intrigue m'est indiférente, ou ennuyeuse, mais je doit avouer que je suis triste de ne pas assister à l'émergence d'un nouveau maître de la SF : tu as préféré ta tragédie humaine, comme d'autres l'auraient fait, et comme certains l'aimerons, mais je sui un adepte de fantastique, de la SF et des romans angoissants, aussi clôturerais-je mon commentaire ici.

Désolé de te décevoir mais étant moi même un fan de ces genres, je trouves vraiment banal ce genre de dénouement.
Et je l'avoue, ce que j'aime dans l'histoire, ce sont les gens. Peut importe qu'ils volent à dos de dragon ou sur un balait volant, j'aime la profondeur des pensées, et les sentiments vifs.

Mais c'est ça la beauté de la nouvelle. On peut explorer les styles, multiplier les essaies pour se forger un plume. J'aime ce coter tres imprévisible :-)

Pour ne rien te caché j'ai repris le "canevas" d'une nouvelle que j'avais écris il ya plus de 4 ans sur un forum Warahmer et qui elle se présentait plus sous la forme véritable de la SF. Je voulais ici faire mûrir mon idée et utiliser le contexte pour une histoire plus intimiste, plus psychologique.

Si l'envie t'en prend, voici la nouvelle de "base" elle se passe dans l'univers de Warhamer 40.000
Elle est très courte et le style est vraiment mauvais mais peut etre permet t'elle de mieux comprendre mes raisons quand j'ai écris celle présentés au concours.

Spoiler:

En lisant le commentaire que tu avais écris après le 2e extrait je me doutais que je te déçoirais, et ça m'attriste beaucoup car ma valeur d'un écrit n'est psa mesurée pas son auteur mais bien par ses lecteurs :-).


Je ne cherches pas à me justifier, mais le fait d'être sur un forum de discussion permet ... la discussion

Bon, je dois avouer que tout comme Dr Cumulus, je suis assez déçue de ta fin. Je ne dis pas que cette fin en elle même est ratée, ça non, mais la première partie de ta nouvelle nous entraînait vraiment dans de la SF, on s'attendait à de l'action et au final, rien de tout ça. Certes la dimension humaine que tu apportes à ton fiction la distingue de toutes les histoires de SF auquel on est habitué, mais je trouve la transition un peu brutale. La première partie est presque angoissante, on se demande ce qui se passe sur ce vaisseau et puis dans la deuxième ça change complètement. Sinon, elle ne me dérange pas plus que ça. Par contre, tu es vraiment méchant avec ton personnage, c'est pas très gentil ce que lui fait "sa" Camille ^^ On dirait presque qu'il l'étouffait parce qu'elle n'arrête pas de répéter qu'elle est libre !

Enfin bon, j'attends l'épilogue avant de te délivrer un jugement définitif ^^

QUOI !!!!! non ce n'est pas possible tu n'as PAS pus faire ça !!! Tuer comme ça les pensées de ton héros en les séparants !
Sinon très bon récit, et très bon et style d'écriture. Sinon un poil déçu par ta fin très triste qui me laisse sans sans voix mais sinon rien à dire

Je crois que j'ai fais une erreur dans mon récit ! J'ai pris le lecteur au dépourvu avec cette fin psychologique, et dieux sais que les lecteurs sont fragiles et qu'ils ne faut pas les brusquer !!

J'aime à croire que vos réaction négative sont le fruit de mon style immersif à souhait et que comme James vous vous êtes sentit sur le point de vivre un space opera !
Et donc ma fois, cela prouve au moins que mon ambiance était bien rendue !



Pour cette fin si méchante pour James, c'était un de mes souhaits de dépars. Le personnage donne tout à Camille, il quitte sa planette natal pour vivre une idylle avec elle. ET cette dernière le quitte

J'espère éclairer ce dernier point avec mon épilogue... J'ai bien dit j'espère car je n'ai pas encore développé la personnalité de Camille, c'est donc une parfaite inconnue pour moi...

Moi j'aime beaucoup. Tu a réussi à mous surprendre en annonçant une fin tout à fait inattendu car moi je m'attendait à tout sauf à ça. En plus je trouve que c'est très bien amené dans le récit. En gros c'est très bien j'adore !!

Voila mon vote :

Spoiler:

Voilà ma note à moi

Spoiler:

Code:

 tu nous présente le personnage principale comme l'homme le plus gentil du monde

ah bon ? C'était pas le but :p J'avais pas l'impression ...