Cadavre exquis - présentation & test

ce qu'il ne savait pas c'est qu'il était tombé chez l'abominable Artemis Fowl, kidnappeur de fée et que l'ombre qui se dressait dans son dos n'tait autre que celle de son garde du corps le géant eurasien Butler qui avait le pouvoir d'écraser la tête de n'importe qu'elle fée d'une simple poignée de main

d'une simple poignée de main. Butler s'empara de l'intrus et l'amena dans le manoir.

-Holly, je vous assure que si Foaly continue, je... je vais m'énerver! fit Artemis.
-Mais je vous assure que ce n'est pas lui qui pirate vos systemes! Il n'y est jamais arrivé!
Artemis lui barra le chemin:
-Qui alors?s'écria Artemis.

Mais Orion, bien sur ! Qui d'autre pourrait me ridiculiser de la sorte, sans que je ne soit même au fait de ce qui m'arrive ! Cette fois, c’est est trop : il est temps de tester l'invention de cet Antwind Levi ... quitte à en subir les lourdes

-Conséquences? demanda, effrayé, la Fée.
-Oui. Vous n'avez pas voulu me donner gentiment votre Livre, votre pistolet et votre casque, alors assumez les conséquences de vos actes stupides, déclara froidement Artemis. Il leva la main et appuya sur un bouton rouge à sa droite.

Il leva la main et appuya sur un bouton rouge à sa droite. Et c'est alors que le thé qu'attendais Artemis coula enfin dans le verre. Il trempa ses lèvres dedans

sans y déceler la moindre de trace de poison. Mais en remarquant a quel point il était affaiblie.

C'était étonnant en effet de voir un centaure se dresser sur les pattes arrières, les yeux bandés, essayant de frapper dans une piniata accrochée au plafond. Foaly avait l'air de beaucoup s'amusait mais ses amis étaient inquiets pour lui.

Mais ses amis étaient inquiets pour lui. Cela faisait plus de deux heures que Foaly n'était pas rentré. A tous les coups, il était allé se shooter à grands coups

de carottes. Il ne faisait que parler de carottes. Il avait volé toutes celles de Foaly. Personne ne comprenait le soudain intérêt d'Artemis pour ces carottes. Il les photographiait, les mangeait, les volait, les cultivait et les berçait le soir avant de dormir.

le soir avant de dormir. Il regardait par la fenêtre en espérant apercevoir quelque chose d'étonnant
mais il n'y avait rien qui valait la peine d'être vu sauf peut être ce petit

Ce petit ne s'arrêtait donc jamais, pensa Mulch Diggums alors que Myles Fowl lui arrachait des poils de barbe parce que "c'est marrant ça durcit". Pendant qu'il s'occupait lui même de Myles, Butler devait prendre soin de Beckett, ce qui n'était pas vraiment plus reposant. Beckett était entrain d'enterrer Butler dans la terre du Jardin du Manoir des Fowls. Le pauvre garde du corps ne pouvait pas bouger de peur de blesser le petit frère de son principal. Il restait donc immobile, de la terre jusqu'au menton. Il faut dire que le trou était assez profond

Il fit se qu'il put pour remonter, sans succès. Allait-il donc devoir passer le restant de ses jours, coincés comme un rat mort ?

Cumulus : Il était une fois un Docteur égocentrique et fou, mais bien seul. Pour se tenir compagnie, il rechercha, pendant des années, le secret de la création de la vie, afin d'inventer un objet de torture qui pourrait faire parler les criminels les plus féroces, sans tuer tout à fait et garder le peu de vie qu'il reste pour souffler ses aveux. Les paysans voulant tuer leur roi, ils lancèrent une mode des souffrances les plus horribles (Mathsauv_eldiablo), que même un rat de laboratoire n'aurait pu expliquer. Mais un jour (Cumulus) , s'arrachant les cheveux par poignées devant le corps inanimé malgré ses bons soins, le Docteur tombourina sur sa console de commande, provoquant un formidable court circuit. Le tonnerre, en tombant à cet instant précis sur l'alimentation, acheva l'oeuvre du savant fou : Tressautant de toutes parts, le monstre hurla, pour la première fois depuis sa résurection. (Mathsauv_ediablo) était terminée. Il pouvait enfin descendre de son trone cellulaire et marcher vers sa gloire. (Anou88) Sa gloire, son courage qui faisait de cet homme un homme de confiance. Était-elle en train de tomber amoureuse ? Non, il ne fallait pas. Ses amis avaient confiance (R.Fas) ...confiance, lui dit la voix dans sa tête qui le narguait et le tentait (Anou88) bien ! Aller faire un tour en ville avec lui. Et oui, à présent, elle était sûre. Elle l'aimait ! Mais, que faire ? (LaMecreante) avec cet objet non identifié posé sur la table de salon. Devait elle le jeter à la poubelle ou le garder. Peut être qu'un jour elle en trouverait l'utilité Elle alla ... le regarder de plus près. (Anou88) Il avait un visage ovale, des cheveux bruns et de beaux yeux bleus ! Il était en train de courir dehors, en plein hiver ! Il transpirait mais malgré cela, restait toujours classe. Le lendemain, (LaMecreante) le reveil fut dure. Il avait passé la nuit à boire. (Anou88) Celui-ci accepta volontiers. Ils allèrent dans le café du coin et partagèrent un moment à eux deux. Mais, (LaMecreante) il s'arreta devant l'église en se demandant s'il était obligé d'assister à la cérémonie. Pourtant, malgré tout, il monta les escalier de celle-ci et (Anou88) arriva dans le grenier. Cette pièce, sombre, mystérieuse et pas vraiment chaleureuse ne ressemblait pas du tout à sa propriétaire. Elle lui demanda (LaMecreante) d'aller se laver les dents et de descendre dans le salon. Ils devaient avoir une petite discussions. Traînant les pieds (Cumulus) , la petite cunégonde demanda : pourquoi suis-je obligé de me coucher si tôt ?! Je veux aller au bal, moi aussi ! Sa nourrice lui répondit sèchement : mais tu est bien trop laide, de toute façon ! Même le duc Quasimodo ne voudrait pas t'épouser ! Si tu allais ou bal, on crierais " au monstre ! " Surt ce, elle ferma la porte, et la verrouilla.
La jeune fille, pleurant toutes les larmes de son corps, s'allongea sur son lit, et sanglota ainsi jusqu'à minuit : sur le point de s'endormir, une lueur lui fit froncer les sourcils. C'était sa Marraîne la bonne Fée (Anou88) ?? Pourquoi dis-tu ça ?
-Je... Non rien." Il s'installa sur un fauteuil et commença
à raconter une histoire: (LaMecreante)
- Il était un pays où personne ne riait. Tout le monde était habillé en noir et aucune autre couleur n'était accepter. On passait sa journée à pleurer et à se lamenter dans les cimetières.

LaMecreante : Un jour un petit lutin se baladant dans la forêt arriva malencontreusement devant une très vieille bâtisse. Il alla quelque instant flâner dans son immense jardin et sentir ses fleurs qu'il dévorera par la suite. Ainsi repu, il s'endormit. Quand il se réveilla quelqu'un le regardait. C'était un géant. Le petit lutin eu tellement peur qu'il faillit faire une crise cardiaque. Ce qu'il ne savait pas c'est qu'il était tombé chez l'abominable Artemis Fowl, kidnappeur de fée. (R.Fas) ce qu'il ne savait pas c'est qu'il était tombé chez l'abominable Artemis Fowl, kidnappeur de fée et que l'ombre qui se dressait dans son dos n'tait autre que celle de son garde du corps le géant eurasien Butler qui avait le pouvoir d'écraser la tête de n'importe qu'elle fée d'une simple poignée de main (LaMecreante) . Butler s'empara de l'intrus et l'amena dans le manoir. (Wafooch)
-Holly, je vous assure que si Foaly continue, je... je vais m'énerver! fit Artemis.
-Mais je vous assure que ce n'est pas lui qui pirate vos systemes! Il n'y est jamais arrivé!
Artemis lui barra le chemin:
-Qui alors?s'écria Artemis. (Cumulus)
Mais Orion, bien sur ! Qui d'autre pourrait me ridiculiser de la sorte, sans que je ne soit même au fait de ce qui m'arrive ! Cette fois, c’est est trop : il est temps de tester l'invention de cet Antwind Levi ... quitte à en subir les lourdes conséquences (Louise-chan)
- Conséquences? demanda, effrayé, la Fée.
- Oui. Vous n'avez pas voulu me donner gentiment votre Livre, votre pistolet et votre casque, alors assumez les conséquences de vos actes stupides, déclara froidement Artemis. Il leva la main et appuya sur un bouton rouge à sa droite. (R.Fas) Et c'est alors que le thé qu'attendais Artemis coula enfin dans le verre. Il trempa ses lèvres dedans sans y déceler la moindre trace de poison. (mattluffy) Mais en remarquant a quel point il était affaiblie. C'était étonnant (R.Fas) en effet de voir un centaure se dresser sur les pattes arrières, les yeux bandés, essayant de frapper dans une piniata accrochée au plafond. Foaly avait l'air de beaucoup s'amusait mais ses amis étaient inquiets pour lui. Mais ses amis étaient inquiets pour lui. (Louise-chan) Cela faisait plus de deux heures que Foaly n'était pas rentré. A tous les coups, il était allé se shooter à grands coups de carottes... (R.Fas) Il ne faisait que parler de carottes. Il avait volé toutes celles de Foaly. Personne ne comprenait le soudain intérêt d'Artemis pour ces carottes. Il les photographiait, les mangeait, les volait, les cultivait et les berçait le soir avant de dormir. (mattluffy) Il regardait par la fenêtre en espérant apercevoir quelque chose d'étonnant mais il n'y avait rien qui valait la peine d'être vu sauf peut être ce petit (R.Fas) ne s'arrêtait donc jamais, pensa Mulch Diggums alors que Myles Fowl lui arrachait des poils de barbe parce que "c'est marrant ça durcit". Pendant qu'il s'occupait lui même de Myles, Butler devait prendre soin de Beckett, ce qui n'était pas vraiment plus reposant. Beckett était entrain d'enterrer Butler dans la terre du Jardin du Manoir des Fowls. Le pauvre garde du corps ne pouvait pas bouger de peur de blesser le petit frère de son principal. Il restait donc immobile, de la terre jusqu'au menton. Il faut dire que le trou était assez profond (MOI ) Il fit se qu'il put pour remonter, sans succès. Allait-il donc devoir passer le restant de ses jours, coincés comme un rat mort ?

Il était une fois un jeune garçon, stupide et agaçant, qui énervait tout son entourage. Sa simple petite existence d'enfant sur cette Terre était réduite à cela : faire souffrir par ses rires et gamineries le plus de gens possible. Il était tellement insupportable qu'un jour, pris de folie, son père...

S'empara de la lampe de chevet et la lança de toutes ses forces sur sa progéniture. Avec un couinement porcin, l'enfant se jeta sur le côté et sa tête percuta de plein fouet le rebord du bureau. La lampe ne connut pas un sort plus heureux : elle traversa la baie vitrée et alla s'encastrer dans un grand pin au milieu du jardin. Le père grommela quelques paroles inintelligibles, puis se dirigea vers le gamin, immobile. Il donna un grand coup de pied dans l'épaule de l'enfant, et ce fut alors qu'il s'aperçut de l'énorme tache de sang qui s'agrandissait sur le tapis persan et sur le rebord du bureau. La panique le saisit, et...

il courut se réfugier dans le bois, où il rencontra le petit chaperon rouge qui lui proposa gentiment

de quitter le pays avant minuit sinon, son courroux serait des plus effroyables et entrainerait

pour la famille, puisque cette histoire allait en faire chuter l'honneur et la richesse. Cette famille, qui apportait une grande importance à ces deux éléments, décida de redorer son blason en partant à la découverte du Nouveau Monde, qui, disait-on,

Tant de richesse. De l'or, des diamants, toutes sortes de pierres précieuses et de joyaux que le lutin mourrait d'envie de fourrer dans son sac et de ramener chez lui. Malheureusement, il n'eu pas le loisir de

profiter pleinement de sa liberté ! Une fois libéré, des gardes le prirent aussitôt de force et l'emmenèrent brutalement vers la falaise maudite...

Le comble étant que le chevalier potiron n'avait pas du tout peur de cette falaise ! Il était courageux, mais surtout un peu fou. Il appela son fidèle valet Patapouf et lui ordonna de