[T4]La Mort..

Bon OK
Vous semblez avoir oublier une chose: Artemis Fowl c'est un livre.
Julius n'existe pas dans la réalité. Tous les personnages évoluent selon l'envie de l'auteur. Evidemment que si il avait existé ça m'aurait toucher mais pas là.
Pourquoi ? Parce qu'il n'existe pas.
Eoin Colfer a choisi de le faire mourir, il doit avoir ses raisons (même si on le comprend pas ou on ne l'approuve pas).
Julius est mort. Je vais me lamenter sur son sort.
Et en réponse à Minerva: Julius a-t-il déjà été "méchant" ?
Biens sûr que non. S'il l'avait été, aurait-il eu un rôle aussi important pour le Peuple ? Non.
Alors voilà, je maintients mon opinion. La mort de Julius ne m'a pas traumatisé ni choqué.

Et bien moi, quand je lis un livre, je ressens les émotions des personnages (si si, je vous assure) et j'ai senti la détresse de Holly.

J'ai dis qu'il "commencait à devenir jentil", pas qu'il était méchant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Nuance!

Edit by Misar : un seul point d'exclamation suffit... Sinon les messages deviennent vite illisibles.

ha ba oui...logiquement en lisant un livre on est sencé ressentir une certaine "émotion" pour tel ou tel évenement!!
Perso je vois pas a quoi ca sert un livre si on peut pas pleurer dessus!

Minerva a écrit:

J'ai dis qu'il "commencait à devenir jentil", pas qu'il était méchant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Nuance!

Ben dis-moi ce qu'il était alors avant ça éclaircira les choses.

Et pour réponse à princesse de jade (je pense pas qu'on puisse faire un double-quot),je vois vraiment pas en quoi Artemis Fowl peut faire pleurer.
Et tous les romans ne sont pas à l'eau de rose.

Il était énervant. Voila c'est ça énervant.

Artemis Fowl à l'eau de rose!! manquait plus que ça!!! laisse nous pleurer sur notre livre en paix!

Bon alors, ce n'est pas très plémique tout ça.
Effectivement on peut pleurer la mort d'un personnage et c'est souvent ce qui fait un bon livre, quand on arrive à rentrer dedans à 200%.
Après, je sais que moi je pleure rarement, et d'autres pleure très souvent. Rien n'est mieux que l'autre. Ils se valent, ce sont différentes manières de s'exprimer, de ressentir.
Après je peux parfaitement comprendre, puisque je suis dans ce cas, que la mort de Root n'émeuve pas des masses.
Pas par déni du personnage, simplement, la scène en elle même n'est pas forcément faite pour ça. Je la trouve d'ailleurs un peu cliché comme scène : tue moi vas y... Il va mourrir... Que faire? ... je tire... Je tente... J'ai raté... Il est mort ! Bref tout pout vous faire un héros et finalement, eh bien, les évenements s'enchaînent, c'est l'accéleration dramatique. Il n'y a pas de vraie reconnaissance, pas de deuil, les tournants politiques ont prit le dessus sur l'apitoiement, alors, on se tourne vers eux et on essaye de tout démler, de voir les implications de chacun, les palns foireux, ceux de génies... Et là, on a oublié la mort de Root. Hum.

Et on peut faire autant de quote qu'on veut suffit de mettre les bornes nécessaires.

Et puis root n'était vraiment énervant ou gentil ou méchant. Il était et reste un personnage typique : celui qui n'est pas fait pour être un personnage aimé mais qui pourtant est très important. C'est le guerrier non-héros. Le chef. Et on ne lui attribue pas grand chose d'autres...

mouais (pas très convaincu)

misarwet lof, toujours la pour remettre les pendules à l'heure!!

C'est vrai que c'est pas rien la mort de Root mais bon, faut bien que les gentils meurent un peu aussi ! Enfin, sur le coup, quand j'ai lu le passage, c'est pas vraiment joyeux !

Je trouve que ça apporte un peu de "maturité" au livre :-)

C'est sûr !

Mais c'est triste enfin du temps que c'est pas Holly :p

Personellement, je considère ce passage comme un scène d'anthologie au sadisme : rien de plus, rien de moins.

En tant que fan d'Artemis, j'imaginais mal quelqu'un faire preuve d'autant de cruauté dans cette histoire ( à part l'anti héros, bien entendu [ soudain élan de compassion pour Spiro ] ) ... d'où ma tristesse quand à la mort de Root.

Inversement, je ne puis m'empêcher d'admirer ce machiavélisme de la part d'Opale, dans une vengeance qui aurait suffit à traumatiser un troll : tout simplement parfait, à la limite de la torture psychologique .

Le bilan, pour moi est quand même positif : Root n'étant pas essenciel à l'intrigue, sauf dans sa mort, il faut apprendre à lui dire adieu, et a apprécier la tragédie ( au sens théatral du terme ) que nous livre l'auteur et le sacrifiant ... SHOW MUST GO ON !